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  • Photo du rédacteurFoncia Tarentaise

Albertville

Un marché abordable

Grâce à ses prix accessibles, comparés au reste des Pays de Savoie, le marché immobilier d’Albertville continue de progresser, malgré des conditions de financement plus compliquées pour les acquéreurs.


Au cœur des Alpes, entourée par les montagnes et traversée par l’Isère, Albertville est une commune mythique en France. Ville olympique en 1992, elle est aussi l’un des terrains de jeu favori du Tour de France, ville-étape par excellence au départ d’ascensions légendaires. Elle se situe aussi au carrefour des plus belles stations de ski : Valmorel, Les Saisies, La Plagne, Mégère, les 3 Vallées…


Une faible tension immobilière

Malgré ces nombreux atouts, l’immobilier n’a jamais vraiment décollé. « Albertville est historiquement une ville de passage, sur la route des montagnes et de l’Italie, expose Carole Chirouze, négociatrice pour Foncia. La ville n’a jamais été très prisée sur le plan touristique. C’est ce qui explique ses prix contenus. »


La pression immobilière est également mesurée, puisque la démographie n’est pas exponentielle comme dans d’autres agglomérations de la région. « Depuis les années 1990, la population municipale s’est stabilisée autour de 18 000 habitants », ajoute la négociatrice.


Un engouement post-confinement

Selon les Notaires de France, le prix médian pour un appartement ne s’élève en effet qu’à 2 090 € le m2 dans l’ancien et 3 340 € le m2 dans le neuf. L’immobilier d’Albertville s’affiche à des prix bien plus abordables que dans le reste de la Savoie où il faut un budget de 3 500 € le m² dans l’ancien et de 4 610 € le m² dans le neuf.


Comme partout en France, Albertville n’a pas échappé à l’euphorie immobilière constatée après le premier confinement de 2020. De nombreux acquéreurs, de la région parisienne notamment, sont venus s’y installer et ont contribué à faire grimper les prix. Ceux-ci ont en effet bondi de 10 à 12 % au cours des 12 derniers mois, tous types de biens confondus. « La remontée des taux de crédit n’a pas encore impacté le marché d’Albertville. Pas de baisse de prix en vue… », constate Carole Chirouze.


Des investisseurs présents sur le marché

La dynamique immobilière demeure soutenue sous l’effet d’une demande à l’investissement. « Les investisseurs locatifs apprécient de plus en plus la ville où l’on peut dégager des rendements intéressants, ajoute-t-elle. Le profil de ces investisseurs est varié : il s’agit de couples du secteur qui cherchent à placer des liquidités, comme de jeunes primo-accédants ou encore des Annéciens en quête de rentabilité. »


Un marché de maisons attractif

Du côté des maisons, la demande est toujours forte. Le pavillon individuel continue de faire rêver, notamment à Albertville où les notaires font état d’un budget médian d’acquisition de 265 000 € dans l’ancien et de 300 000 € dans le neuf.


Selon Carole Chirouze, « là encore, le marché d’Albertville attire des acquéreurs qui ne parviennent plus à acheter, notamment dans la région annécienne élargie, d’Annecy jusqu’à Faverges », où la moindre maison s’arrache souvent à plus de 450 000 €.

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