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  • Photo du rédacteurFoncia Tarentaise

Doussard / Faverges, douceur de vivre et prix attractifs.

Dernière mise à jour : 3 déc. 2022

À mi-chemin entre les agglomérations d’Annecy et d’Albertville, le secteur de Doussard et Faverges séduit de plus en plus d’acquéreurs pour son dynamisme et son cadre de vie.


Vivre à Doussard ou à Faverges, c’est embrasser un mode de vie à la fois rural et urbain. Ce territoire au cœur du massif des Bauges offre en effet une proximité unique avec la nature alpine, entre le lac d’Annecy, la station de la Sambuy, le vallon de Tamié… Tout en étant proche des bassins économiques dynamiques d’Albertville et d’Annecy. Sans oublier non plus que Faverges est aussi le berceau de fleurons industriels comme Staübli et S.T. Dupont.



« Ici, il fait bon vivre »

Côté services et commodités, la zone ne manque de rien : cinéma, établissements scolaires, piscine, commerces… « Il y a tout sur place, s’enthousiasme Gaëlle Thibert, conseillère en immobilier chez Foncia sur ce secteur. Ici, il fait bon vivre, et cela n’a pas échappé aux acquéreurs, ces dernières années. » À l’image de l’ensemble des Pays de Savoie, ce territoire a connu ces dernières années une forte demande. « En particulier avec la crise sanitaire, car il répond parfaitement aux nouvelles attentes, alliant nature et dynamisme économique », analyse-t-elle.


Une excellente alternative

La demande est dopée par l’attractivité des prix immobiliers. Alors qu’ils ont flambé à Annecy et sur les rives de son lac, Doussard, et par extension Faverges, s’affichent plus que jamais comme d’excellentes alternatives avec des prix 15 à 30 % moins chers. La valeur de l’immobilier ne cesse pourtant de grimper sur le secteur, à un rythme soutenu : appartements et maisons voient leur prix croître de 8 à 15 % par an depuis trois ans. « Bien que le secteur soit en proie à une forte tendance haussière, il n’en reste pas moins attractifs pour les ménages dont le budget ne leur permet plus d’accéder au marché annécien notamment, confirme Gaëlle Thibert, pour qui la demande émane principalement de couples, avec enfants, âgés de 35 à 45 ans. Les nombreux atouts de Doussard et Faverges dament aujourd’hui le pion à l’image un peu excentrée du secteur. Ces communes sont devenues des marchés de report crédibles. » Pour une maison ancienne, il faut compter en moyenne 480 000 € à Doussard et 350 000 € à Faverges.



Les acquéreurs acceptent même désormais de s’installer dans les hameaux alentour. Gaëlle Thibert s’étonne par exemple du succès commercial d’un lotissement neuf à Seythenex : « Située sur les hauteurs de Faverges, la vingtaine de maisons à ossature bois proposée s’est vendue très rapidement. Ces pavillons de 95 m² sur 500 m² de terrain ont trouvé preneurs pour 330 000 € en moyenne. »

Cela dit, les plus gros budgets préféreront les hauteurs de Doussard, offrant une vue sur le lac d’Annecy. À Lathuile par exemple, un pavillon de 120 m² en bon état se négocie difficilement en dessous de 700 000 €.


Une belle offre d’appartements

L’offre de logements collectifs s’étoffe de plus en plus ces dernières années. « Même si les acquéreurs viennent ici plutôt avec l’envie d’une maison, les plus petits budgets acceptent de se reporter sur un appartement, du moment qu’il possède un bel extérieur, observe Gaëlle Thibert. Il y a désormais une belle offre d’appartements situés dans de petits immeubles, très agréables à vivre. »

Selon la spécialiste de ce marché, il faut ainsi tabler en moyenne pour un appartement de 3 000 € le m² dans l’ancien à 4 300 € le m² dans le neuf.


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